Meine Tante freute sich sehr, uns zu sehen: waren wir doch die „Delegation aus der Schweiz“.
Für uns war es ein Geschenk, Tanti Roso in so guter Gesundheit zu sehen, obwohl sie vor kurzem den Ellbogen gebrochen hatte: sie hat sogar getanzt!
Nach einem feinen Essen hiess es, dass wir uns später „am Strand von La Ciotat“ treffen würden: aber nur wir Schweizer haben nicht verstanden, dass das nicht „baden“ heisst, sondern „sehen und gesehen werden“ und „Kinder spielen im Sand“. Wir liessen uns das Bad bei Sonnenuntergang trotzdem nicht entgehen.
Da Tanti Roso kalt hatte und sie dann doch nicht den Pelzmantel tragen wollte, fuhren bald alle nach Hause.
Nous avons rencontré beaucoup de personnes : quelques-uns on connaissait, beaucoup nous ne connaissions pas, mais comme nous, ils étaient « des cousins ». Roso était vraiment heureuse de nous voir comme nous étions la seule « représentation » de la Suisse. Pour nous, c’était un cadeau de la trouver en si bonne santé après qu’elle a cassé le coude : elle a même dansé !
Et nous comprenons aussi qu’elle a des difficultés de se souvenir de tout.
À la fin de la célébration on se rencontrait « à la plage de La Ciotat » - mais seulement Heinz et moi ne comprenaient pas que ce n’était pas pour se baigner ! Finalement, « les Suisses » ont osé se jeter dans la mer qui d’ailleurs était bonne pour une journée d’octobre.
Ma tante avait froid, mais on ne voulait quand même pas qu’elle mît son manteau de fourrure. Alors, on rentrait. Quelle belle fête !